Trois indicateurs complémentaires sont mobilisés à la maille de la zone d’emploi : l’exposition à la perte de valeur ajoutée liée à la composition sectorielle de l’emploi ; le taux de recours apparent à l’activité partielle et la variation de l’emploi salarié privé. La composition sectorielle des territoires – en particulier le poids de l’hébergement et la restauration – apparait comme un facteur déterminant de la variabilité du choc. Cette hétérogénéité entre zone d’emplois n’a pas été plus marquée en 2020 que les années précédentes mais elle se traduit – en 2020 – par un choc particulièrement fort pour les zones d’emploi les plus affectées et qu’il convient d’identifier.
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