Il porte sur l’avenir de ce que nous avons, par métonymie, coutume d’appeler notre État, mais qui embrasse en réalité un ensemble plus vaste constitué de l’État au sens strict, de ses démembrements, des organismes sociaux et des collectivités territoriales. Tous participent, avec l’Union européenne, de l’action publique.
Pour formuler le diagnostic et élaborer les propositions qui figurent dans ce rapport, nous avons retenu une méthode voisine de celle qui avait été utilisée pour le rapport Quelle France dans dix ans ? : une combinaison de travail d’experts et de débats ouverts, à Paris et en région, associant praticiens de l’action publique, partenaires sociaux, usagers, acteurs de la société civile et observateurs. Tantôt conceptuels, tantôt concrets, toujours animés, ces débats ont nourri le rapport d’interrogations, d’expériences et de propositions. Nous avons également sollicité un certain nombre d’acteurs ayant pris part aux expériences conduites dans d’autres pays.
Pour mener à bien ce projet, nous avons voulu nous appuyer sur l’expérience de deux personnalités, Anne-Marie Idrac et Martin Vial, qui ont en commun d’avoir servi l’État et dirigé des entreprises publiques, mais aussi effectué une partie de leur parcours dans d’autres mondes, la politique pour l’une et l’entreprise internationale pour l’autre. Je leur sais gré de nous avoir servi de parrains. Je souhaite également remercier Dominique Bureau et Marie-Cécile Naves, qui ont conjointement assumé la charge de rapporteurs, ainsi que Selma Mahfouz et Gautier Maigne, qui se sont investis dans les débats en ateliers et la préparation de ce rapport.
- Coordonné par
Dominique Bureau et Marie-Cécile Naves - Sous le parrainage de
Anne-Marie Idrac et Martin Vial - Avec l’appui d’un groupe de travail composé de
Salima Benhamou, Julia Charrié, Lionel Janin, Benoît Lajudie, Marcel Lepetit, Marie-Cécile Milliat, Florence Mouradian et Béligh Nabli